Accueil > Kulli... Dans ma cuisine > Boulangerie : pains, brioches etc.

Boulangerie : pains, brioches etc.

Dernier ajout : 1er janvier 2017.

J’aime le pain !

Le pain, c’est quelque chose de culturel. Dans ma famille, un repas sans pain est anormal... Le pain était présent à tous les repas lorsque j’étais enfant, accompagnant tout (mon grand-père mangeait du pain avec ses crêpes...).

Et puis un jour, j’ai acheté la fameuse machine à pain - MAP pour les intimes - et là je suis entrée dans le grand tourbillon du "faire soi-même son pain" :

- La première étape a consisté à se faire la main : façonner de bons pains cuits à la MAP. Or ces sortes de gros cubes pleins de mie étaient physiquement laids... Il me fallait aller plus loin...

- Comme toute personne qui mène sa carrière d’utilisateur de MAP, je suis donc passée à la seconde étape, l’étape de l’effervescence : pétrir sa pâte à la machine, faire son propre levain, faire une levée, deux levées voire trois levées... et cuire son pain au four... et là... waouh ! Quel bonheur : il ne s’agit plus de faire son propre pain, il s’agit de faire son propre pain qui ressemble à quelque chose (une baguette, un bâtard, une miche, une couronne, une marguerite, une fougasse...). Et là, quelle fierté car du coup, on n’achète plus de pain mais on stocke des kilos et des kilos de farine, on devient expert dans les T55, T65 ou T120, on nourrit son levain, on sait ce que veut dire poolish, on pratique le "coup de buée", on fait endurer à ses proches ses loupés (oubli du sel dans le pain, brioche pas assez cuite...)... Bref, on s’y croit presque !

- Pour la troisième étape, on se calme un peu, c’est l’étape du fignolage encore en cours : elle consiste notamment à améliorer la présentation de mes pains, brioches et autres...

Voilà où j’en suis et cela a commencé... en 2007.

Articles de cette rubrique

0 | 5 | 10 | 15 | 20 | 25 | 30 | 35

Accueil > Kulli... Dans ma cuisine > Boulangerie : pains, brioches etc.

Boulangerie : pains, brioches etc.

J’aime le pain !

Le pain, c’est quelque chose de culturel. Dans ma famille, un repas sans pain est anormal... Le pain était présent à tous les repas lorsque j’étais enfant, accompagnant tout (mon grand-père mangeait du pain avec ses crêpes...).

Et puis un jour, j’ai acheté la fameuse machine à pain - MAP pour les intimes - et là je suis entrée dans le grand tourbillon du "faire soi-même son pain" :

- La première étape a consisté à se faire la main : façonner de bons pains cuits à la MAP. Or ces sortes de gros cubes pleins de mie étaient physiquement laids... Il me fallait aller plus loin...

- Comme toute personne qui mène sa carrière d’utilisateur de MAP, je suis donc passée à la seconde étape, l’étape de l’effervescence : pétrir sa pâte à la machine, faire son propre levain, faire une levée, deux levées voire trois levées... et cuire son pain au four... et là... waouh ! Quel bonheur : il ne s’agit plus de faire son propre pain, il s’agit de faire son propre pain qui ressemble à quelque chose (une baguette, un bâtard, une miche, une couronne, une marguerite, une fougasse...). Et là, quelle fierté car du coup, on n’achète plus de pain mais on stocke des kilos et des kilos de farine, on devient expert dans les T55, T65 ou T120, on nourrit son levain, on sait ce que veut dire poolish, on pratique le "coup de buée", on fait endurer à ses proches ses loupés (oubli du sel dans le pain, brioche pas assez cuite...)... Bref, on s’y croit presque !

- Pour la troisième étape, on se calme un peu, c’est l’étape du fignolage encore en cours : elle consiste notamment à améliorer la présentation de mes pains, brioches et autres...

Voilà où j’en suis et cela a commencé... en 2007.